Recruteur Qonto
12/09/2022

Qonto a recruté un Lead Growth Engineer en 2 semaines

Qonto est une entreprise française de services financiers destinée aux entrepreneurs et aux petites entreprises (1er compte pro en ligne). Leur mission est d’aider toutes les PME et les indépendants à préserver leurs ressources les plus précieuses : leur temps, leur énergie et leur ambition. Qonto est né juillet 2017, et depuis l'équipe a atteint de grandes réalisations : leader du marché de la banque en ligne pour les PME en Europe, 250 000 entreprises clientes, +700 talents dans l’équipe et 622 M € levés.

Blogdu recrutement

Instagram est devenu un incontournable pour les entreprises qui cherchent à développer leur marque et à attirer de nouveaux talents. Dans cet article, nous vous dévoilons 6 conseils pour optimiser vos chances de réussite lors du recrutement sur Instagram.

1. Créez un compte dédié au recrutement

Pour gérer efficacement la présence de votre entreprise sur Instagram, il peut être judicieux de créer un compte spécifique dédié au recrutement. Cela vous permettra de partager des annonces, de mettre en valeur votre culture d’entreprise et d’échanger directement avec les candidats intéressés par vos offres d’emploi. De plus, cela évitera de mélanger les publications liées à vos produits ou services à celles destinées au recrutement, ce qui facilitera la navigation des candidats potentiels.

Mettre en place une stratégie éditoriale cohérente

Comme pour tout compte professionnel, il est essentiel de définir une stratégie éditoriale adaptée à votre activité et aux attentes de votre audience. Choisissez les thématiques abordées dans vos publications, déterminez le ton employé et créez un calendrier de publication régulier pour assurer une présence soutenue et dynamique auprès de votre communauté.

2. Développez une marque employeur attrayante

La marque employeur regroupe l’ensemble des éléments qui caractérisent votre entreprise et qui la rendent attractive aux yeux des candidats potentiels. Sur Instagram, cela se traduit principalement par le contenu visuel que vous partagez : photos, vidéos, stories… Il est donc essentiel d’adopter une approche créative pour mettre en avant les spécificités et les valeurs de votre entreprise.

Valorisez les collaborateurs et leur quotidien

Donnez la parole à vos employés et montrez comment se déroule leur journée type au sein de votre organisation. Vous pouvez également créer des portraits d’équipes ou de collaborateurs pour montrer la diversité des talents et des métiers que vous proposez. N’hésitez pas à utiliser les formats originaux offerts par Instagram, tels que les stories éphémères ou les IGTV plus longues.

3. Proposez du contenu interactif pour engager votre audience

Pour fidéliser votre communauté et susciter l’intérêt des candidats potentiels, il est crucial d’offrir du contenu engageant sur Instagram. Utilisez les différentes fonctionnalités proposées par la plateforme pour permettre à votre audience d’interagir avec votre marque et de découvrir votre univers professionnel.

Animez des sessions de questions-réponses

Organisez régulièrement des séances de questions-réponses en live ou via les stories, afin d’aborder différents sujets liés à votre entreprise et au recrutement. Cela peut être l’occasion notamment de présenter vos offres d’emploi et de répondre aux interrogations des candidats concernant les postes, les conditions de travail ou encore les processus de recrutement.

4. Misez sur les hashtags pertinents pour gagner en visibilité

Les hashtags sont des outils incontournables pour gagner en visibilité sur Instagram. Choisissez avec soin les mots-clés associés à votre secteur d’activité et aux thématiques que vous abordez dans vos publications. N’hésitez pas à créer un hashtag propre à votre marque employeur, qui permettra de regrouper l’ensemble de vos contenus relatifs au recrutement.

Adaptez votre approche en fonction des tendances

Pour rester à la pointe de l’actualité, suivez régulièrement les tendances en matière de recrutement et adaptez-en vos publications et hashtags. Veillez également à respecter les règles d’utilisation des hashtags sur Instagram, notamment en ne cherchant pas à utiliser des mots-clés trop génériques ou saturés.

5. Soignez la qualité des offres d’emploi proposées

Lorsque vous partagez une offre de poste sur Instagram, il est essentiel d’accorder une attention particulière à la qualité du contenu présenté. Rédigez des descriptions claires et précises des missions proposées, ainsi que des compétences et qualités attendues pour le poste. Assurez-vous aussi que l’image ou la vidéo accompagnant l’offre soit attirante et en accord avec la philosophie de votre entreprise.

Utilisez les formats adaptés pour diffuser les annonces

Les stories et les carrousels sont des outils particulièrement bien adaptés pour présenter vos offres d’emploi de manière dynamique et attractive. N’hésitez pas à varier les formats et les approches pour capter l’attention de votre audience.

6. Collaborez avec des influenceurs ou partenaires du secteur

Tisser des relations avec des influenceurs, des experts ou des partenaires du même domaine que vous peut contribuer à renforcer votre crédibilité en tant qu’employeur. Proposez-leur de participer à des collaborations, par exemple pour animer ensemble des sessions de questions-réponses, présenter vos offres d’emploi ou partager leur expérience personnelle au sein de votre entreprise.

Choisissez des ambassadeurs cohérents avec vos valeurs

Lorsque vous collaborez avec des influenceurs ou des partenaires, veillez à ce qu’ils soient en adéquation avec les valeurs et l’image que vous souhaitez véhiculer auprès de votre audience. Cela renforcera la pertinence de vos messages et l’impact de votre marque employeur sur Instagram.

Dans le monde professionnel actuel, les compétences techniques et l’expérience ne suffisent plus pour assurer le succès d’un employé au sein d’une entreprise. Tout aussi important est de trouver un candidat qui correspond à la culture d’entreprise : une personne capable de travailler en harmonie avec ses collègues et de vivre pleinement les valeurs de la société. Pour déterminer si un postulant possède cette qualité essentielle, voici cinq questions à poser lors de l’entretien.

1. Comment définiriez-vous votre culture d’entreprise idéale ?

Cette question permet de comprendre les attentes du candidat quant à son environnement de travail et de comparer ces attentes à la culture réelle de l’entreprise. Si ces deux visions sont similaires, cela peut être un bon signe quant à l’adéquation entre le postulant et l’organisation. N’hésitez pas à préciser ensuite la culture régnant au sein de l’entreprise afin de vérifier si celle-ci correspond aux préférences du candidat.

Exemple de réponse :

“Je m’épanouis dans un milieu stimulant qui favorise l’apprentissage continu, l’innovation et la collaboration. J’aime travailler avec des collègues passionnés et engageants, qui partagent leurs connaissances et soutiennent mutuellement le développement professionnel.”

2. Quelles valeurs sont importantes pour vous au travail ?

Comprendre les valeurs du candidat vous permet de vérifier si elles correspondent à celles de l’entreprise et des employés actuels. Les personnes ayant des valeurs similaires seront probablement plus enclines à développer une synergie positive avec leurs collègues, ce qui est un facteur clé pour garantir leur bien-être au travail.

Exemple de réponse :

“L’honnêteté et la transparence sont essentielles pour moi au travail. Je crois que pour bâtir une relation de confiance avec ses collègues et sa hiérarchie, il faut être ouvert sur ses réussites, ses échecs et ses objectifs. De plus, j’accorde beaucoup d’importance au respect et à la reconnaissance mutuelle.”

3. Comment préférez-vous travailler avec vos collègues ?

Cette question permet de déterminer si le style de travail du candidat correspond à celui pratiqué dans l’équipe où il est susceptible de rejoindre. Il est important de savoir si le postulant préfère un environnement de travail plutôt compétitif, collaboratif ou indépendant. Une mauvaise adéquation peut entraîner des tensions et des problèmes de communication au sein de l’équipe.

Exemple de réponse :

“Je suis à l’aise aussi bien en travaillant seul qu’en équipe. Toutefois, je trouve que la collaboration entre collègues apporte une dynamique particulière qui favorise la créativité et l’efficacité. J’aime aussi participer activement aux réunions et partager mes idées pour aider à résoudre les problèmes.”

4. Comment gérez-vous les situations de conflit ou de désaccord ?

L’environnement de travail n’est pas toujours exempt de conflits, même si la communication est fluide et que les valeurs sont partagées. Il est donc essentiel de savoir comment un candidat gère ces situations délicates afin d’éviter qu’elles ne deviennent un problème majeur au sein de l’équipe.

Exemple de réponse :

“Lorsque je fais face à un désaccord ou un conflit, je cherche tout d’abord à écouter et comprendre les besoins et préoccupations de chacun. Ensuite, j’essaie de trouver une solution en recherchant activement un terrain d’entente, tout en prenant en compte les intérêts de chacun et le bien-être de l’équipe.”

5. Quel type de leader vous inspire et pourquoi ?

La perception du candidat concernant le leadership donne un aperçu supplémentaire de son adéquation avec la culture de l’entreprise et la façon dont il travaillera avec ses collègues et sa hiérarchie. Ses réponses vous permettent également de jauger si le style de management de l’organisation lui convient.

Exemple de réponse :

“J’apprécie les leaders qui encouragent l’autonomie et la prise d’initiatives dans leur équipe. Un bon manager, selon moi, doit être accessible et soutenir le développement professionnel de ses collaborateurs. J’aime aussi quand un leader sait reconnaître les succès et faire preuve d’empathie.”

Les réponses à ces cinq questions vous aideront à évaluer si le candidat peut s’adapter à la culture de votre entreprise et ainsi, faciliter son intégration. N’hésitez pas à adapter ces questions selon votre contexte et vos spécificités pour obtenir des informations les plus pertinentes possibles.

Dans un contexte où la fidélité des salariés envers leur entreprise est de plus en plus précaire, le phénomène des salariés boomerang a pris de l’ampleur ces dernières années. Ces employés qui reviennent travailler pour leur ancienne entreprise sont aujourd’hui de plus en plus nombreux et contribuent à modifier les codes du marché du travail. Alors pourquoi ce retour en grâce et comment les entreprises peuvent-elles tirer parti de cette tendance ? Cet article se propose d’examiner ces questions.

Les raisons du succès des salariés boomerang

Plusieurs facteurs expliquent le développement de ce phénomène parmi lesquels :

  • L’instabilité du marché de l’emploi : la concurrence accrue et l’évolution rapide des compétences requises poussent les salariés à se réorienter fréquemment pour rester compétitifs. Ce besoin de renouveau les conduit parfois à revenir vers une entreprise qu’ils connaissent bien après avoir exploré d’autres horizons.
  • La volonté des entreprises de favoriser la mobilité interne : celles-ci cherchent de plus en plus à éviter les coûts liés au recrutement et à la formation, notamment en encourageant les transitions en interne et en redonnant une chance aux anciens employés ayant fait leurs preuves.
  • Le rôle des réseaux sociaux professionnels : des plateformes comme LinkedIn offrent une visibilité sur les parcours des anciens salariés et facilitent la prise de contact pour un éventuel retour au sein de l’entreprise.

Les avantages des salariés boomerang pour les entreprises

Embaucher un ancien salarié présente plusieurs atouts pour une entreprise, tels que :

  1. Une intégration rapide : connaissant déjà l’environnement de travail, les méthodes et les collègues, le salarié boomerang n’a pas besoin d’un temps d’apprentissage ou d’adaptation. Il peut ainsi être opérationnel dès son arrivée.
  2. Des compétences nouvelles et enrichies : en ayant occupé des postes similaires dans d’autres entreprises, l’employé a eu l’occasion d’acquérir de nouvelles aptitudes et de développer davantage celles qu’il avait déjà. Son retour profite donc à l’entreprise, qui bénéficie de cette expérience du marché.
  3. La fidélisation des talents : le fait d’accueillir favorablement un ancien collaborateur peut inciter d’autres employés à rester dans l’entreprise et contribuer à éviter le turn-over et ses conséquences fâcheuses (coût du recrutement, perte de productivité, etc.).

Comment optimiser la gestion des candidatures de salariés boomerang ?

Pour tirer parti de ce potentiel, les entreprises doivent mettre en place des stratégies adaptées :

  • Maintenir le lien avec les anciens salariés : il est primordial de conserver une bonne relation avec les collaborateurs qui quittent l’entreprise. Des actions comme les invitations à des événements corporatifs ou la diffusion d’une newsletter peuvent aider à maintenir ce contact.
  • Créer un processus de réintégration : l’entreprise doit 1) évaluer les candidatures boomerangs au cas par cas, en tenant compte des compétences acquises ailleurs et des besoins actuels ; 2) fixer clairement les termes du retour (poste, salaire, conditions…) ; et 3) accompagner l’intégration pour que celle-ci se fasse sans heurts.
  • Favoriser la mobilité professionnelle interne : en développant leur propre vivier de talents et en encourageant les changements de poste en interne, les entreprises peuvent s’assurer de ne pas laisser partir des collaborateurs précieux tout en favorisant l’évolution professionnelle de ces derniers.

Rôle des managers dans l’accueil des salariés boomerang

Les managers ont également un rôle essentiel à jouer dans la réussite du retour du salarié boomerang :

  1. Éviter les préjugés négatifs : certains peuvent être tentés de considérer le départ initial comme une déloyauté, voire y voir un signe d’échec professionnel. Il est important d’éviter ces biais négatifs et de considérer le retour comme une opportunité d’apporter un regard neuf sur les défis actuels.
  2. Aider à l’intégration : même si le salarié boomerang connaît déjà les lieux, des changements ont pu intervenir durant son absence (nouveaux collaborateurs, réorganisation…). Le manager doit donc faciliter la prise de contact et aider à la compréhension des évolutions survenues.

Le phénomène des salariés boomerang témoigne d’une adaptation des entreprises aux changements du marché du travail. En reconnaissant et en valorisant leurs talents passés et présents, elles bénéficient d’un avantage concurrentiel non négligeable.

La parentalité en entreprise est devenue ces dernières années un véritable enjeu pour les organisations soucieuses d’améliorer la qualité de vie au travail et l’engagement de leurs collaborateurs. En effet, concilier vie professionnelle et vie familiale peut s’avérer compliqué pour de nombreux salariés, et adopter des mesures favorisant le respect de cet équilibre a un impact positif sur la performance et la fidélisation des talents.

Les attentes des salariés parents pour une meilleure conciliation famille-travail

De plus en plus conscients de l’importance de préserver leur équilibre familial et personnel, les salariés expriment différentes attentes vis-à-vis de leur employeur pour mieux gérer cette conciliation entre vie professionnelle et vie parentale. Parmi les mesures prônées, on retrouve notamment :

  • L’aménagement des horaires : la possibilité d’adapter son temps de travail en fonction de ses impératifs familiaux est particulièrement appréciée par les salariés parents (horaires flexibles, télétravail, semaines à temps partiel, etc.).
  • Le soutien financier : certaines entreprises proposent des aides spécifiques aux familles, par exemple des primes de naissance ou des participations aux frais de garde d’enfant.
  • La mise à disposition de crèches d’entreprise : disposer sur le lieu de travail d’une structure d’accueil pour les jeunes enfants est un avantage très apprécié des parents, qui leur permet de mieux concilier vie professionnelle et vie familiale.
  • La valorisation des compétences parentales : certaines entreprises encouragent la prise en compte des compétences acquises par les salariés- parents dans l’exercice de leur rôle éducatif (tutorat, formation à distance, etc.).

Les mesures mises en place par les entreprises pour soutenir la parentalité

Face à ces attentes, de nombreuses organisations ont décidé de s’engager activement en faveur de la parentalité en entreprise et d’adopter des mesures visant à faciliter la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale. Ces mesures peuvent prendre différentes formes :

Les dispositifs d’aménagement du temps de travail

Pour favoriser l’équilibre entre vie professionnelle et vie familiale, de plus en plus d’entreprises proposent des solutions flexibles en termes d’horaires et d’organisation du travail. Parmi les dispositifs les plus couramment mis en place, on peut citer :

  • Le télétravail, qui permet aux salariés de travailler depuis leur domicile tout en respectant leurs horaires de travail habituels. Cette solution favorise notamment une meilleure articulation entre vie personnelle et vie professionnelle, en réduisant par exemple les temps de transport.
  • Les horaires flexibles, qui donnent la possibilité aux salariés d’adapter leur temps de travail en fonction de leurs contraintes familiales (gestion des enfants, par exemple).
  • Le temps partiel, qui peut être un choix assumé par les salariés souhaitant consacrer plus de temps à leur famille, ou une solution temporaire proposée par l’entreprise durant une période clé pour le salarié-parent (naissance d’un enfant, par exemple).

Les dispositifs d’aide financière et de soutien aux familles

Outre ces mesures visant à faciliter la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale, certaines entreprises décident également de mettre en place des aides spécifiques pour soutenir les salariés parents. On peut mentionner :

  • La participation aux frais de garde des jeunes enfants : cette aide financière peut prendre la forme d’un remboursement des frais de garde (crèche, nounou), d’un complément de rémunération (prime de naissance) ou encore d’une subvention accordée directement à une structure d’accueil.
  • La mise à disposition de places en crèches inter-entreprises : certaines organisations s’associent avec d’autres entreprises pour mutualiser les coûts liés à la création et au fonctionnement d’une crèche d’entreprise.
  • Des programmes de formation et d’accompagnement des parents : dans le cadre de leur politique de développement des compétences, certaines entreprises proposent des formations dédiées au soutien de la parentalité (gestion du stress, éducation, etc.) ou des espaces de discussion et d’échanges entre parents.

Les bénéfices de la parentalité en entreprise pour les employeurs et les salariés

L’adoption de mesures favorisant la parentalité en entreprise présente de nombreux avantages pour les salariés- parents, mais également pour l’entreprise elle-même. En effet, les collaborateurs qui parviennent à concilier leur vie professionnelle et familiale sont généralement plus épanouis dans leur travail et donc plus engagés. Cela se traduit notamment par :

  • Une meilleure satisfaction et motivation au travail, notamment grâce à un sentiment d’équilibre et de reconnaissance de la part de l’employeur.
  • Un taux d’absentéisme réduit, puisque les salariés peuvent mieux gérer leurs contraintes familiales sans avoir à prendre des jours de congés ou d’arrêts maladie.
  • Une fidélisation accrue des talents : en répondant aux attentes des salariés-parents, l’entreprise renforce son attractivité et limite le turn-over.
  • Une meilleure performance collective : les salariés qui évoluent dans un environnement bienveillant et flexible sont plus enclins à s’investir pleinement dans leur travail et à travailler en équipe.

Pour l’entreprise, soutenir la parentalité est donc un investissement à long terme qui peut contribuer à renforcer sa compétitivité et sa performance, tout en améliorant la qualité de vie au travail et l’image employeur.

Dans un monde en perpétuelle évolution, les entreprises sont amenées à repenser leur organisation pour s’adapter aux défis du marché. L’une des tendances émergentes est celle de l’entreprise intergénérationnelle, qui mise sur la diversité des âges au sein de ses collaborateurs pour en tirer des bénéfices multiples.

Le terme “entreprise intergénérationnelle” va bien au-delà d’une simple définition. Il incarne une philosophie de gestion qui place la diversité des âges et des compétences au cœur de la stratégie d’entreprise. L’idée n’est pas seulement d’avoir une palette d’âges variée au sein de l’équipe, mais de créer un environnement de travail où chaque génération peut apporter sa valeur ajoutée de manière significative.

Dans cet article, nous aborderons les aspects clés de cette approche novatrice et les avantages qu’elle peut apporter.

Qu’est-ce qu’une entreprise intergénérationnelle ?

Lorsqu’on parle d’une entreprise intergénérationnelle, on fait référence à une structure organisationnelle qui va bien au-delà du simple recrutement multigénérationnel. Ce modèle d’entreprise représente un paradigme qui valorise la diversité des âges comme un atout stratégique, et non comme une contrainte. Il s’agit de créer un écosystème de travail où chaque génération apporte son propre ensemble de compétences, de valeurs et d’expériences au bénéfice commun.

Dans une entreprise intergénérationnelle, l’objectif n’est pas simplement d’intégrer des collaborateurs de différents groupes d’âge, mais de structurer des mécanismes de travail et des systèmes de communication qui encouragent l’échange continu de connaissances et de compétences. Les employés sont ainsi encouragés à collaborer sur des projets, résoudre des problèmes et même prendre des décisions stratégiques ensemble, transcendant les différences générationnelles qui pourraient autrement être des obstacles.

Le terme “collaboration” ici mérite une attention particulière. Dans ce type d’organisation, la collaboration est multidirectionnelle et multidimensionnelle. Les employés plus âgés apportent leur sagesse, leur expérience du terrain et leur expertise en gestion, tandis que les générations plus jeunes introduisent une perspective fraîche, des compétences en technologies émergentes et une agilité cognitive. Cela crée une dynamique de travail où l’apprentissage est continu et où la performance de l’entreprise est optimisée.

La beauté de cette stratégie réside dans sa capacité à capitaliser sur la “richesse humaine” de l’organisation. Plutôt que de se concentrer exclusivement sur les actifs matériels ou les indicateurs financiers, une entreprise intergénérationnelle mise sur le potentiel inexploité de ses employés pour générer de la valeur. Cette richesse humaine devient alors un levier puissant pour l’innovation, l’adaptabilité et la compétitivité à long terme.

Les différents types de transmission intergénérationnelle au sein de l’entreprise

Le mentoring inversé et traditionnel

Le mentoring est une pratique bien ancrée dans le monde de l’entreprise, visant à accélérer l’apprentissage et le développement professionnel. En mettant en relation deux profils complémentaires, l’entreprise facilite un échange de connaissances et d’expériences qui bénéficie aux deux parties. Le mentor, souvent un employé expérimenté, s’appuie sur son expertise et sa compréhension approfondie de la culture de l’entreprise pour guider et conseiller le mentoré, généralement un collaborateur plus junior.

Dans le contexte d’une entreprise intergénérationnelle, cette dynamique du mentoring prend une toute nouvelle dimension. Ici, le modèle se dédouble pour inclure non seulement le mentoring traditionnel mais aussi sa version inversée.

Dans le mentoring traditionnel, le flux de connaissances et de compétences va généralement du mentor plus âgé vers le mentoré plus jeune. Ce dernier bénéficie des années d’expérience du mentor, de ses connaissances organisationnelles et de ses compétences en résolution de problèmes.

Par contre, dans le mentoring inversé, la dynamique est renversée. Le mentoré, souvent un employé plus jeune, devient le mentor pour un collaborateur plus âgé. Ce n’est pas une simple inversion des rôles, mais une révolution dans la façon dont la formation et le développement sont perçus. Le jeune mentor apporte sa maîtrise des technologies émergentes, son agilité dans l’adoption de nouveaux outils et sa perspective fraîche sur des problèmes complexes. Ce modèle est particulièrement efficace pour combler les lacunes en matière d’innovation technologique et de compétences numériques parmi les employés plus âgés.

Ce qui rend cette approche bilatérale unique, c’est sa capacité à créer une véritable synergie intergénérationnelle. Les deux formes de mentoring coexistent et se complètent, créant un écosystème d’apprentissage et de développement qui est à la fois dynamique et inclusif.

La co-création de projets

L’un des aspects les plus fascinants de la transmission intergénérationnelle dans le cadre d’une entreprise est la co-création de projets. Ce modèle représente une rupture avec les méthodes traditionnelles de gestion de projet, en intégrant une variété de compétences, d’expériences et de perspectives qui transcendent les générations.

La co-création de projets ne consiste pas simplement à assigner des tâches à des personnes de différents âges; il s’agit plutôt de créer une équipe collaborative où chaque membre apporte une valeur unique. Dans cet environnement, les employés plus âgés peuvent offrir leur expertise en gestion de projet, leur connaissance des pratiques de l’entreprise et leur sens aigu de la prise de décision stratégique. En parallèle, les membres plus jeunes de l’équipe introduisent une agilité cognitive, une familiarité avec les technologies de pointe et une perspective nouvelle sur les défis de l’entreprise.

Ce mélange d’âges et de compétences crée un terreau fertile pour l’innovation. Les équipes intergénérationnelles sont souvent plus aptes à aborder des problèmes sous différents angles, ce qui permet de trouver des solutions plus créatives et efficaces. C’est une approche qui encourage non seulement la pensée divergente, mais aussi la résolution de problèmes complexe.

Mais l’avantage ne s’arrête pas là. La co-création de projets favorise également un échange dynamique de savoirs et de compétences. Au-delà de la réalisation du projet lui-même, ce processus renforce les liens entre les membres de l’équipe, créant un sentiment d’appartenance et d’engagement qui peut avoir des retombées positives à long terme sur la culture de l’entreprise.

Les bénéfices de l’intégration intergénérationnelle en entreprise

  1. L’adaptation à un environnement en mutation : dans le paysage économique en constante évolution, la capacité d’une entreprise à s’adapter est vitale pour sa survie et sa croissance. L’un des avantages les plus marquants de la diversité des âges en entreprise est la multiplicité des perspectives qu’elle offre. Les employés plus âgés apportent souvent des décennies d’expérience et une compréhension nuancée du marché. Parallèlement, les jeunes collaborateurs injectent une dose de créativité et une compréhension intuitive des tendances numériques et technologiques. Ensemble, ces différentes visions du marché permettent à l’entreprise de mieux anticiper les changements et de s’adapter plus efficacement à de nouvelles opportunités ou menaces.
  2. Une meilleure gestion des connaissances : La transmission intergénérationnelle des connaissances est un moyen puissant pour favoriser l’apprentissage collectif et minimiser les risques associés à la perte de talents clés, que ce soit par la retraite ou les changements de poste. En mettant en œuvre des initiatives ciblées pour faciliter le partage de connaissances et compétences entre les générations, l’entreprise crée un écosystème où l’apprentissage est constant et la capacité d’apprentissage collective est renforcée.
  3. Le développement du capital humain : Une culture d’entreprise qui valorise la diversité intergénérationnelle ne se contente pas de reconnaître les talents; elle les développe activement. Qu’il s’agisse de compétences techniques ou de qualités plus intangibles comme la résilience, la créativité ou les compétences en communication (soft skills), une approche intergénérationnelle à la gestion des talents permet de créer un environnement de travail où chacun a la possibilité de grandir et de s’épanouir professionnellement.
  4. L’amélioration du climat de travail : La diversité des âges en entreprise n’a pas seulement un impact sur la performance et les résultats; elle influe également sur le climat de travail. Les interactions entre les différentes générations favorisent un échange d’idées et de perspectives, stimulant ainsi la curiosité et l’intérêt mutuel. Cette richesse dans les relations de travail peut avoir des effets profondément positifs sur la motivation, le bien-être et l’engagement des employés.

Les défis à relever pour réussir l’intégration intergénérationnelle

Mettre en place une entreprise intergénérationnelle ne se fait pas sans effort, car il est nécessaire d’anticiper et gérer certaines problématiques spécifiques. Parmi celles-ci figurent :

  • La communication : adapter son discours aux particularités de chaque génération est essentiel pour favoriser l’échange et éviter les malentendus. Il peut être utile de recourir à des formations ou ateliers pour améliorer la compréhension mutuelle et développer une culture d’entreprise inclusive.
  • La gestion des stéréotypes : il est important de prévenir et lutter contre les clichés associés aux différentes tranches d’âge, en valorisant les compétences individuelles plutôt que le groupe auquel on appartient. Ceci passe notamment par un management bienveillant et attentif aux besoins de chacun.
  • Les questions de carrière : instaurer une politique intergénérationnelle implique de repenser les parcours professionnels et d’offrir de véritables perspectives d’évolution à tous les collaborateurs, quelle que soit leur ancienneté. Le new deal doit proposer des solutions adaptées pour répondre aux aspirations variées des employés et fidéliser les talents.

L’entreprise intergénérationnelle est un concept prometteur qui présente de nombreux avantages pour les organisations. En misant sur la diversité des âges, elle parvient à capitaliser sur l’intelligence collective, tout en créant un environnement épanouissant pour ses collaborateurs. Attention cependant à prendre en compte les défis inhérents à cette démarche afin de garantir son succès.

Face aux évolutions constantes du numérique et des nouvelles pratiques, les entreprises sont de plus en plus conscientes de la nécessité d’adapter leurs méthodes de travail et de management. Dans ce contexte, le reverse mentoring se positionne comme une solution innovante permettant d’instaurer un échange de compétences et de connaissances entre les générations au sein d’une organisation.

Comprendre l’essence du reverse mentoring

Le principe de cette pratique collaborative repose sur la mise en place d’une relation d’apprentissage inversée entre les collaborateurs juniors et ceux disposant d’une expérience professionnelle plus importante. En d’autres termes, les jeunes apportent leur expertise dans des domaines variés tels que le numérique, les réseaux sociaux ou encore les techniques de communication, tandis que les seniors transmettent leur savoir-faire et leurs connaissances stratégiques.

Les bénéfices pour les entreprises

En favorisant la rencontre et l’échange entre les différentes générations présentes au sein d’une entreprise, le reverse mentoring contribue à créer un environnement de travail enrichissant et propice à l’innovation. Parmi les avantages qu’il procure, on peut citer :

  • L’adaptation aux évolutions technologiques et aux nouveaux outils digitaux
  • La détection et la résolution de problèmes grâce à une meilleure compréhension des attentes des différentes populations
  • Le développement de synergies entre les collaborateurs pour une meilleure performance globale de l’entreprise
  • L’accélération du changement culturel nécessaire pour faire évoluer les méthodes de travail et les mentalités

Mettre en place un programme de reverse mentoring réussi

Pour que le reverse mentoring produise ses effets et apporte une valeur ajoutée significative à l’entreprise, il est essentiel de suivre quelques étapes clés lors de sa mise en œuvre :

Déterminer les Objectifs à Atteindre

La première étape cruciale dans la mise en place d’un programme de reverse mentoring est la définition précise des objectifs. Sans une vision claire, le programme risque de manquer de focus et d’impact.

Voici quelques aspects à prendre en compte :

Alignement avec la Stratégie de l’Entreprise

Il est crucial que les objectifs du programme de reverse mentoring soient en alignement avec les objectifs stratégiques globaux de l’entreprise. Par exemple, si l’entreprise vise à accélérer sa transformation numérique, le programme pourrait avoir un objectif spécifique autour de la montée en compétence sur les outils digitaux et les nouvelles technologies.

Identification des Gaps de Compétences

Avant de lancer le programme, une évaluation des compétences existantes au sein de l’entreprise peut aider à identifier où le mentoring peut être le plus bénéfique. Cela permet de créer des binômes de mentors et mentores qui peuvent le mieux répondre aux lacunes de compétences identifiées.

Mesurabilité et Suivi

Les objectifs doivent être mesurables pour que le succès puisse être évalué. Que ce soit à travers des KPIs comme le taux d’engagement des participants, l’amélioration des compétences mesurées par des évaluations, ou d’autres indicateurs pertinents, il est important de définir à l’avance comment le succès sera mesuré.

Flexibilité et Adaptabilité

Les objectifs ne doivent pas être si rigides qu’ils ne peuvent pas être ajustés en cours de route. Le monde de l’entreprise est dynamique, et les besoins peuvent changer. Les objectifs du programme de reverse mentoring doivent donc être revus et ajustés si nécessaire, pour rester pertinents et efficaces.

2. Identifier les mentors et les mentores

Le choix des participants est crucial pour assurer la réussite du programme. Il est important d’associer des personnes volontaires et motivées, aptes à partager leurs compétences et connaissances, ainsi qu’à écouter les autres et apprendre d’eux.

Profil des Participants

Il est primordial de bien comprendre le profil de chaque participant potentiel. Certains peuvent exceller dans des domaines techniques comme le digital, tandis que d’autres peuvent avoir des compétences plus centrées sur le leadership ou la gestion de projet. Connaître ces points forts permet de former des binômes plus complémentaires.

Volontariat et Motivation

Un mentor ou un mentore doit être volontaire et motivé. Imposer le reverse mentoring à quelqu’un qui n’y voit pas d’intérêt sera contre-productif. Une petite interview ou un questionnaire peuvent aider à évaluer le niveau d’engagement des participants potentiels.

Capacité à Communiquer et à Écouter

Le reverse mentoring ne fonctionne que si les deux parties sont capables de communiquer efficacement. Les mentors doivent être prêts à partager leur savoir, mais aussi à écouter et apprendre de leurs mentores, et vice versa. Les soft skills, comme la communication et l’empathie, sont souvent aussi importants que les compétences techniques.

Diversité des Profils

Il peut être utile d’avoir un éventail diversifié de mentors et mentores pour enrichir le programme. Cela pourrait inclure des différences en termes d’âge, de niveau d’expérience, de domaines d’expertise, et même de culture d’entreprise si votre organisation est multinationale.

Compatibilité

Il est également important de considérer la compatibilité entre le mentor et le mentore. Une bonne relation interpersonnelle peut grandement influencer le succès du programme. Certains choisissent d’organiser une première rencontre “d’essai” pour évaluer cette compatibilité.

Formation et Outils de Support

Fournir une formation initiale sur les meilleures pratiques du mentoring et des outils de support peut aider les participants à mieux jouer leur rôle. Cela peut inclure des documents de formation, des webinaires, ou même des séances de coaching.

3. Organiser les séances de mentoring

La fréquence et la durée des rencontres doivent être adaptées aux besoins des participants, tout en prenant en compte les contraintes de temps et de disponibilité propres à chaque entreprise. L’idéal est d’établir un rythme régulier, avec des séances d’une heure à deux heures environ, pour garantir une continuité dans l’apprentissage et le partage d’expériences.

Définir la Fréquence

La fréquence des séances dépend de plusieurs facteurs, y compris les objectifs du programme, les disponibilités des participants, et les besoins en développement de compétences. Une fréquence trop élevée peut causer de la fatigue et diminuer l’engagement, tandis qu’une fréquence trop basse peut entraîner une perte de momentum.

Durée des Séances

La durée des séances doit être suffisante pour permettre une discussion approfondie des sujets, mais pas tellement longue qu’elle devienne une contrainte pour les participants. En général, une heure à deux heures est une bonne règle de base.

Format des Séances

Il peut être bénéfique de varier les formats pour maintenir l’engagement. Par exemple, alterner entre des sessions en tête-à-tête et des sessions de groupe peut fournir des perspectives différentes et enrichir l’expérience de mentoring.

Outils et Ressources

Selon les sujets abordés, il peut être utile de disposer de certains outils ou ressources pendant les séances, comme des documents de formation, des diapositives, ou même des plateformes en ligne pour le partage de contenu.

Suivi et Compte-rendu

Après chaque séance, un petit compte-rendu peut être utile pour suivre les progrès et ajuster les plans pour les prochaines séances. Certains optent pour un suivi formel à travers un système de gestion de l’apprentissage, tandis que d’autres préfèrent des méthodes plus informelles.

Flexibilité

Enfin, il est important de rester flexible. Les besoins et les disponibilités peuvent changer, et le programme doit être en mesure de s’adapter en conséquence. Une certaine flexibilité dans la planification peut aussi aider à accueillir des sessions imprévues pour aborder des questions urgentes ou des opportunités d’apprentissage spontanées.

4. Faciliter la communication entre les pairs

Pour permettre aux participants de tirer pleinement profit du reverse mentoring, il est primordial de créer un climat de confiance et de convivialité au sein des binômes formés. Ainsi, il est recommandé d’organiser des moments informels d’échange, tels que des déjeuners ou des ateliers thématiques, et de mettre à disposition des outils digitaux favorisant la discussion et le partage d’informations.

Instaurer un Climat de Confiance

La première étape pour une communication réussie est de créer un environnement où chaque participant se sent en confiance. Cela peut être facilité par des accords de confidentialité ou simplement par la définition de règles de base, comme le respect mutuel et l’écoute attentive.

Moments Informels d’Échange

Les relations ne se construisent pas uniquement dans un cadre formel. Organiser des moments informels, tels que des déjeuners ou des cafés, peut donner aux participants l’occasion de se connaître dans un contexte plus détendu. Cela peut souvent conduire à des échanges plus ouverts et honnêtes.

Ateliers Thématiques

En plus des sessions de mentoring régulières, des ateliers thématiques peuvent être organisés pour aborder des sujets spécifiques en profondeur. Cela peut aussi être l’occasion pour d’autres membres de l’entreprise de s’engager dans le programme et de partager leurs connaissances.

Outils Digitaux

L’utilisation d’outils digitaux peut grandement faciliter la communication, surtout pour les équipes réparties géographiquement. Des plateformes de collaboration en ligne, des forums de discussion, ou même des applications mobiles dédiées peuvent être utilisées pour maintenir le dialogue entre les séances.

Feedback Continu

Un système de feedback continu peut aider à identifier rapidement les domaines d’amélioration et à ajuster le programme en conséquence. Cela peut être aussi simple qu’un court questionnaire après chaque séance ou plus complexe comme des entretiens périodiques avec les participants.

Sensibilisation et Formation

Enfin, la formation aux compétences de communication peut être un ajout utile au programme. Cela peut inclure des formations sur l’écoute active, la communication non-verbale, ou même la gestion des conflits.

S’inspirer de l’expérience d’entreprises ayant adopté le reverse mentoring

De nombreuses organisations, de tailles et de secteurs d’activité variés, ont déjà expérimenté le reverse mentoring avec succès. Parmi elles, certaines ont développé des initiatives particulièrement inspirantes :

  • L’Oréal, qui a mis en place un programme baptisé “Connect” visant à former ses cadres dirigeants aux réseaux sociaux, avec l’aide de jeunes collaborateurs spécialistes du digital
  • BNP Paribas, dont le dispositif de reverse mentoring a permis de former plus de 800 managers, en leur offrant l’opportunité de s’approprier les outils numériques et d’intégrer les nouvelles pratiques
  • Thales, qui a initié un programme de “Digital Reverse Mentoring” pour favoriser la transformation numérique de ses équipes et accélérer son adaptation aux enjeux du monde digital

En somme, le reverse mentoring constitue une démarche novatrice permettant aux entreprises de s’adapter, d’évoluer et de mieux affronter les défis posés par le numérique et les nouvelles pratiques. En misant sur la diversité des compétences et des profils au sein de leurs organisations, elles peuvent ainsi créer un environnement propice à l’innovation, au partage et à la performance.