Revue d’un mindset à avoir en toutes circonstances. Parlons de la bonne posture pour approcher dans un process de recrutement. Cet article est un retour sur les bonnes techniques d’approches, celles qui maximisent les chances d’avoir le meilleur profil pénurique, mais aussi de diversifier ses canaux, comme les profils positionnés en plein dans ton viseur.
Une approche performante du candidat.
Approcher un candidat ne s’improvise pas : une démarche proactive est forcément de mise.
Concrètement, il faut oser car le bon recrutement en 2022 s’affranchit des codes anciens. Et comme les outils pour trouver des profils sont nombreux, il ne faut en aucun cas se contenter, par exemple, des CVthèques. C’est une voie de résolution à sa problématique de recrutement, mais certainement pas LA voie d’attraction qui vaut toutes les autres.
Et cela fonctionne aussi pour tout outil qui mise sur une posture “post&pray”, via la diffusion de son annonce, que ce soit sur LinkedIn, des jobboards, Indeed…
Le “post&pray”, c’est quand on écrit l’annonce, la diffuse, et on attend que ça arrive.
Et c’est problématique.
Bon nombre de recruteurs et recruteuses en manque d’expérience peuvent avoir la sensation d’avoir bien fait leur travail avec ces démarches rassurantes. Le problème de ce comportement passif, c’est qu’en plus de ne pas miser sur une recherche active des candidats et futurs talents de l’entreprise, il ne vise que les candidats en recherche.
Et c’est un réel frein quant à la qualité d’un recrutement engagé.
Il faut garder à l’esprit que, bien souvent, les candidats déjà en poste sont ceux qui sont les plus attractifs. Dans un contexte d’élasticité assumée au changement d’entreprise dans un milieu comme la tech, c’est une aubaine pour le recrutement et donc, nos chasseurs de tête.
Chasser, approcher, et démarcher ne peut être une équation à succès si l’on s’affranchit des méthodes classiques pour une méthode qui mêle aussi modernité.
Le chasseur de tête est forcément une personne aux potentiels multiples.
En plus d’avoir une expérience certaine, un bon chasseur de tête évite les écueils du manque d’expérience des recruteurs juniors. Attention, il ne s’agit pas ici de blâmer un droit à l’erreur, mais bien d’expliquer des dynamiques d’échec à l’attraction des talents.
L’approche d’un chasseur de tête est forcément millimétrée puisqu’elle fait appel :
- à une connaissance du secteur,
- du poste visé,
- des prétentions salariales,
- et des temporalités de mouvements de carrière suivant le profil recherché (junior, médior, sénior).
Il ou elle sait approcher en discrétion par message ciblé, avec une accroche personnalisée et un texte dont le corps met en évidence qu’il ou elle sait de quoi il en retourne, pour attirer avec conviction.
En fait, il sait avoir une approche aux potentiels multiples car il maîtrise l’art du message direct, en plus de tous les outils passifs qu’il a à sa disposition. On passe donc de “post&pray” à “hunt&get”, en s’assurant que tout le parcours candidat soit de qualité pour l’entreprise et l’équipe mandataires.
EN QUOI MUZZO VOUS AIDE :
Chez Muzzo, on sait que le bon CV est bien souvent au milieu de la pile ou alors en bout de course et que, 82% des entreprises ne trouvent pas leur perle rare sur le terrain de chasse de l’emploi. Les jobboards, le RPO, l’automatisation des campagnes : nous allons plus loin, tout en proactivité et à l’écoute de vos besoins grâce à nos professionnels qualifiés pour trouver la personne qui saura rentrer dans votre team !